Portées par l’intérêt croissant du public pour le manger mieux manger sain, certaines entreprises ont arrêté de faire la fine bouche et entamé une vraie réflexion sur le sujet. Elles ont découvert un levier insoupçonné de cohésion et de performance des équipes.
Comment suivre cette évolution et faire de la nutrition un axe privilégié de votre politique de santé au travail ?
Pour passer à la vitesse supérieure, notre collectif vous guide à travers 5 enjeux et 15 idées pour élaborer votre stratégie sur l’alimentation au travail et redonner le goût du bien manger à vos équipes.
L’entreprise est un espace de vie dans lequel les collaborateurs se déplacent, se croisent, partagent et se retrouvent. Parmi ces différents lieux de rencontre, certains sont incontournables comme la machine à café, la cantine, la cafétéria ou la cuisine aménagée.
L’aménagement et l’ambiance de ces espaces de consommation sont des points d’attention à considérer pour que les collaborateurs s’y sentent bien, prennent le temps de se poser et de recharger leurs batteries sereinement.
Idée n°1 : Privilégier des espaces cloisonnés en lumière naturelle, des couleurs apaisantes et surtout une bonne insonorisation (matériaux/mobilier) pour créer une atmosphère calme, feutrée qui génère de la “ lenteur” et un repos récupérateur.
A l’inverse, l’exposition au bruit crée spontanément l’envie de fuir pour économiser notamment ses réserves en magnésium. Ce dernier est un élément nutritionnel clef pour lutter contre le stress, la fatigue chronique, la perte de concentration ou le grignotage compulsif.
Parfois, c’est encore l’absence d’équipement adéquat (réfrigérateur, micro-ondes, évier…) qui pousse les salariés à privilégier des options fast food à l’extérieur sur des plats maison.
Idée n°2 : aménager un espace de restauration bien équipé (cuisine, réfrigérateur, fours, tables, espace extérieur) et éco-responsable : suppression des plastiques et de la vaisselle jetable, tri sélectif, mugs individuels, vaisselle lavable, café moulu etc.
Accompagner les collaborateurs à adopter les habitudes qui influent positivement sur sa santé fait aussi partie des actions de l’entreprise. L’expérience des confinements a accéléré la prise de conscience écologique et la tendance marquée à vouloir consommer moins mais mieux et de manière responsable chez soi et hors de chez soi.
Idée n°3 : Penser au retour de congé maternité et imaginer un espace adapté pour faciliter la vie des jeunes mères qui souhaitent tirer leur lait au travail (espace fermé, réfrigérateur)
Ces pratiques d’une alimentation saine et écologique passent aussi par le choix d’aliments locaux, en circuit court et de saison. Sans chercher à contrôler l’assiette des salarié.es, il est possible d’encourager des comportements plus vertueux.
Idée n°4 : Imprimer une affiche des fruits et légumes de saison, à installer dans l’espace restauration ou la cafétéria.
Préparer et apporter son repas de la maison est une tendance très forte qui s’accélère dans les entreprises. D’après une étude de l’IFOP, 6 Français sur 10 (61%) déclarent apporter leur propre déjeuner au travail, par opposition au fait de manger dans un restaurant d’entreprise (24%), de sortir déjeuner au restaurant (8%) ou encore d’acheter leur déjeuner dans un distributeur automatique (7%).
Idée n°5 : Proposer un atelier alimentation “fabrication de lunchbox” aux équipes pour leur faire découvrir des recettes simples et variées à apporter au bureau
Pour les salariés en télétravail, la pause méridienne n’est plus la pause réconfortante et conviviale habituelle mais un casse-tête supplémentaire sitôt la mâtinée terminée. Seul.e face à son écran dans un espace parfois restreint, les lacunes sur l’alimentation et en cuisine se font alors rudement sentir… Certains en profitent pour apprendre, d’autres choisissent de déléguer le sujet tout entier à Uber Eats.
Le point commun ? Tous font l’expérience que des conditions de travail difficiles peuvent pousser à basculer vers une alimentation désorganisée, inadaptée et émotionnelle “refuge” dont l’impact est rapidement visible : prise de poids, fatigue mentale, stress, anxiété et moral en berne…
Les bases de la cuisine sont parfois à réapprendre et peuvent être l’occasion d’organiser un atelier de cuisine et de vivre un moment drôle et convivial entre collègues.
Idée n°6 : Organiser un atelier de batchcooking fun en équipe sur 2 heures pour apprendre à préparer les repas de la semaine en télétravail
Qui ne connaît pas ce mantra des recommandations nutritionnelles ? Pourtant, pas facile pour tout le monde d’atteindre le compte.
Ces messages “qui nous veulent du bien” résonnent parfois comme des injonctions et deviennent culpabilisants voire anxiogènes. Les maladies chroniques (obésité, diabètes, cancers, maladies cardio-vasculaires, maladies dégénératives) continuent de progresser en parallèle. Cet échec des politiques de santé nutritionnelles nationales se traduit en entreprise et dans la société sous la forme d’absentéisme, d’arrêts maladie et de mal-être.
En réalité, devenir acteur de son alimentation et optimiser son capital santé, est un long apprentissage, fait de diverses expériences et découvertes. Mais cela peut aussi devenir un projet d’entreprise fédérateur et motivant, tant l’alimentation est un sujet qui rassemble les gens et contribue à leur bien-être psycho-émotionnel.
Pour les organisations qui en disposent, une partie de la réponse se trouve sans surprise en cuisine. Il est primordial d’engager un dialogue constructif avec votre prestataire ou directement avec les cuisinier.ères sur le contenu des assiettes. Les formations de type CAP cuisine font encore malheureusement peu de place à la diététique, et encore moins aux bases d’une alimentation écologiquement soutenable. La composition des plats, l’origine des produits, leur empreinte carbone sont des éléments qui peuvent et doivent faire l’objet de discussions argumentées.
Idée n°7 : Orienter l’offre alimentaire proposée sur le site par un cahier des charges précis et exigeant, et contrôler son exécution
De nombreuses astuces ou nudges alimentaires permettent aussi d’orienter les choix alimentaires : mise à disposition de pains bis (pain 80), attention particulière à la disponibilité attractive et gustative de fruits et légumes, positionnement de l’offre de sel loin des tables, réduction de la taille des sachets de sel, exclusion de boissons sucrées de l’enceinte de la restauration, limitation de l’accessibilité aux corps gras (beurre, mayonnaise, vinaigrettes…).
Idée n°8 : Moduler le prix des produits proposés, de façon à inciter à la consommation des plats plus favorables pour la santé
Alors que l’alimentation représente un tiers des émissions mondiales de CO2, nos choix nutritionnels sont de plus en plus observés et décortiqués.
Choisir de manger local, durable, bio ou s’engager dans une cuisine zéro déchet relève a priori d’une prise de conscience personnelle. Mais au fur et à mesure que ces pratiques alimentaires se diffusent, les entreprises engagées en matière de RSE s’alignent sur ces standards. En témoigne le succès de la mise à disposition de paniers bios dans les bureaux.
Dans ce contexte, la restauration classique d’entreprise, pilotée par de grands groupes cotés au CAC 40 et animée d’autres ambitions, perd du terrain face à des nouveaux acteurs écologiquement plus responsables.
Idée n°9 : Privilégier le recours à des prestataires alimentaires nationaux (ex. Foodchéri, Seazon) ou des prestataires locaux (ex : Les marmites volantes), qui favorisent des repas équilibrés sains et à faible empreinte environnementale.
La crise écologique et l’urgence climatique ont créé les conditions pour une prise de conscience forte et un changement de comportements des consommateurs. Le marché du bio poursuit son développement aussi en entreprise et la loi française est l’une des plus avancées en matière de lutte contre le gaspillage alimentaire. Là aussi, les entreprises ont la possibilité d’agir par des actions de sensibilisation ou par des équipements adaptés.
Idée n°10 : Mettre à disposition un “frigo jaune” partagé pour limiter le gaspillage alimentaire et distribuer les éventuels invendus d’entreprise
L’entreprise accapare ses salariés ⅓ de leur temps journalier, cette période doit être fractionnée pour permettre aux collaborateurs de s’alimenter régulièrement.
La journée alimentaire débute habituellement à la maison par un petit déjeuner mais pour un certain nombre de collaborateurs c’est un rendez-vous manqué faute d’organisation, de temps de transport ou simplement par manque d’appétit. Ce premier repas n’est pas au sens strict un passage obligé, mais après plusieurs heures de travail, l’éveil et la vigilance diminuent et les risques de grignotages augmentent.
D’autres situations fréquentes, comme un déjeuner escamoté ou pris sur un coin de bureau pour gagner du temps sont contre-productives. Elles nuisent à la santé physique, aux performances du salarié et in fine à l’entreprise. Une pause déjeuner devrait durer en moyenne 40 minutes, pour se laisser le temps d’apprécier le contenu de son assiette, se détendre et bien digérer, sans coup de pompe à la suite.
Idée n°11 : Instaurer une durée minimale et adéquate pour la pause déjeuner, et l’inscrire dans les documents officiels (règlement intérieur, contrat de travail, planning de production).
En réalité et pour aller plus loin, “manger santé” est le juste équilibre entre manger varié, en quantité adaptée, avec lenteur, en pleine conscience, avec plaisir et quand on a faim.
C’est le modèle que l’entreprise doit promouvoir en donnant elle-même l’exemple pour ancrer durablement la santé par l’alimentation dans la culture de l’entreprise. Bien sûr, cela concerne aussi les pots et les événements d’entreprise : les salarié.es ne manquent jamais de commenter le contenu d’un buffet d’entreprise, cela reflète votre image et l’attention que vous portez à vos équipes.
Le grignotage est un phénomène naturel quand on travaille, encore faut-il savoir quoi se mettre sous la dent et faire les bonnes provisions ! Mettre à disposition des en cas sains sur le lieu de travail (fruits frais, fruits séchés et oléagineux, chocolat noir par exemple) pour accompagner les petites pauses du matin et de l’après-midi est un parti pris responsable et efficace pour lutter contre le mauvais grignotage et détrôner définitivement les insupportables distributeurs, qui envahissent les entreprises et narguent continuellement les salariés.
Cette généralisation de la malbouffe provoque des tentations de grignotage élevées : près d’un salarié sur deux déclare y être exposé « souvent » (14%) ou « de temps en temps » (31%). Dans les grandes entreprises, le grignotage gratuit est très présent : 52% des salariés travaillant dans des structures de plus de 250 salariés y sont confrontés, contre seulement 32% dans celles de moins de 20 salariés.
Or, plus que tout, l’omniprésence d’aliments “faciles” (proches, mous, sucrés, pas chers) dans l’environnement annule les meilleures volontés et conditionne à manger passivement et sans faim. Plus un collaborateur côtoie des aliments faciles, moins il résiste et plus rapidement sa santé physique et ses aptitudes se détériorent. A l’inverse plus il faut faire d’effort pour manger, moins on mange…
Idée n°12 : Proposer des paniers bios ou locaux via des prestataires spécialisés comme Les paniers de Léa, les fermes de Gailly, Potagercity ou Mes voisins producteurs.
Adapter son alimentation à son rythme de travail suppose aussi de saisir les mécanismes de la faim/satiété, les interactions corps/cerveau et pourquoi on mange parfois trop. Cela peut être abordé lors d’un atelier ou d’une conférence sur l’alimentation. Les nutritionnistes en entreprise vous le diront, il est essentiel de lisser le taux de glycémie dans le sang pour prévenir les coups de pompe dans la journée. En privilégiant des aliments à faible indice glycémique au travail, vous favorisez aussi la performance des équipes en même temps que leur santé.
Enfin, une attention particulière doit être portée aux équipes qui travaillent en travail posté et au travail de nuit, pour évaluer la meilleure adéquation entre horaires de travail et contenu des prises alimentaires. Un accompagnement individuel pour guider le salarié à planifier son alimentation peut s’avérer nécessaire pour faire face aux risques de somnolence, stress, prise de poids et troubles du sommeil qui impactent sa qualité de vie et sa santé à moyen terme.
Les programmes de santé au travail se sont démocratisés, avec des plans d’action, des objectifs et des indicateurs. En 10 ans, on mesure chez les professionnels le passage d’une culture de prévention des risques centrée sur les aspects sécurité à une approche plus globale de promotion de la santé, qui inclue le sommeil, l’alimentation ou l’activité physique.
Pourtant, sur le sujet de l’alimentation, à peine plus d’un salarié sur cinq dit avoir déjà participé à des actions de prévention et les nutritionnistes qui exercent en entreprise sont encore extrêmement rares, même dans les grands groupes.
Initier un projet global d’entreprise cohérent sur l’alimentation suppose de toutes manières de coordonner l’action de différents services. La médecine du travail et les ressources humaines sont des acteurs clefs de l’entreprise pour amorcer un projet d’entreprise alimentation-santé durable. D’autres personnes peuvent être associées comme les membres du CSE, les responsables de la restauration d’entreprise ou les mutuelles.
Des prestataires extérieurs spécialisés dans la qualité de vie ou la santé au travail peuvent aussi être sollicités pour apporter une expertise, intégrer ou animer un groupe de travail, réfléchir sur les stratégies, actions, outils, services et indicateurs à mettre en place pour assurer un pilotage efficace du projet.
Idée n°13 : Lancer un sondage en interne pour recueillir les souhaits des utilisateurs et proposer aux personnes motivées d’intégrer un groupe de travail pour une meilleure alimentation dans l’entreprise
Le premier chantier consiste généralement à procéder à un état des lieux de l’offre alimentaire. Cela permet d’identifier les points bloquants et les actions à entreprendre en priorité. Une approche UX centrée sur l’expérience collaborateur est conseillée pour aborder dès le départ la question alimentaire du point de vue des équipes et des situations de travail vécues.
Il faudra commencer par répertorier les lieux où les collaborateurs peuvent consommer aux différents moment de la journée, le temps mis pour y accéder, le type d’alimentation disponible ou non (chaud/froid, snack, repas équilibré sur place ou à emporter, paniers fruits, en cas healthy…)
Idée n°14 : Croiser les besoins exprimés avec votre analyse de l’existant pour identifier les chantiers prioritaires et bâtir votre plan d’action nutrition.
Vous serez également amené.e à recenser qui fournit la restauration (prestataire ou autogestion) et selon quelles modalités (cahier des charges, appel d’offre, contrat de prestataire, salariat, volontariat).
Enfin, avec l’aide d’une diététicienne-nutritionniste, vous pourrez évaluer la qualité des prestations proposées ou disponibles dans l’environnement de l’entreprise (nutritionnelle, gustative, rapport qualité/prix), pour chaque moment de la journée.
Avec les actions de sensibilisation sur la nutrition, vous permettez à chaque collaborateur de s’intéresser à son alimentation de tous les jours, à la maison comme au bureau et d’intégrer en douceur, à son rythme, des pratiques favorables à sa santé.
L’alimentation est au cœur de nos vies et de nos discussions (particulièrement en France !). Vous pouvez donc multiplier les idées d’animation et les angles d’attaque sur le sujet, vous apprendrez toujours de choses et susciterez le débat.
Le sujet se prête aussi facilement à différents types d’actions et d’animations : ateliers en présentiel ou en ligne, stands conseil et dégustation, ou consultations individuelles avec une nutritionniste offrent une palette de dispositifs très complète.
Spécialisé dans la pédagogie active, le collectif LAD vous propose un tour d’horizon des actions possibles.
L’atelier alimentation en petit groupe constitue une expérience transformante pour découvrir une thématique en peu de temps, en faire l’expérience et pouvoir utiliser ou reproduire immédiatement les contenus.
Nous démarrons le plus souvent nos actions de sensibilisation sur l’alimentation par un atelier diététique généraliste “Alimentation : les clés d’une nutrition équilibrée (au travail)”. On y apprend à mieux connaître le fonctionnement de notre horloge alimentaire, les complémentarités des aliments, et les réflexes à adopter pour mieux choisir ses produits et mieux organiser ses temps de repas. Organisé en présentiel ou en ligne, l’objectif est d’ouvrir le débat sur le manger bon, sain et gourmand.
Depuis 2013, c’est un des ateliers les plus demandés aux Ateliers Durables, et plus de 3000 salariés ont déjà profité de nos ateliers et conférences nutrition dans des groupes comme Groupama, Provepharm, Airbus, Ikéa, France Télévision ou encore le Ministère des Finances.Parfois, lorsque le sujet a déjà été abordé ou pour proposer un focus spécifique, nous recommandons un atelier nutrition plus ciblé, quand nous intervenons dans certaines structures.
Plus récemment, avec le succès des cours de cuisine collectifs dans la lignée de l’Atelier des Chefs, de nouveaux formats qui mixent fabrication et conseils nutritionnels sont apparus. Les ateliers cuisine en équipe les plus plébiscitées par nos entreprises clientes sont :
Avec la crise sanitaire, le besoin de renouveler l’attractivité du bureau et de créer des temps conviviaux est aussi devenu une priorité des Directions et des services RH. Dans le cadre d’une journée bien-être au travail ou à l’occasion d’une animation ponctuelle, il est souvent envisagé de proposer un stand-conseil sur l’alimentation. L’objectif : fournir une information à un maximum de personnes, faire goûter des nouveautés, créer le déclic et l’envie de changer ses habitudes alimentaires.
À l’aide de fiches-conseils et documents pédagogiques, ces interventions sont l’occasion de transmettre des notions de santé clefs : pyramide alimentaire, composition de l’assiette, rythme de travail et index glycémique des aliments…
Suivant l’horaire choisi, la nutritionniste qui anime le stand choisira de présenter et de faire goûter des aliments pour le petit déjeuner, le déjeuner ou le goûter. Le stand conseil “Petit déjeuner équilibré” est un outil classique de sensibilisation que nous proposons souvent dans le cadre de séminaires ou de journées bien-être au travail (Pole léonard de Vinci, Firmenich, Agence Régionale de Santé, RATP, Elogie Siemp, Teksial, CFAO)
Idée n°15 : Profiter d’événements nationaux comme la semaine du goût (en octobre) ou la semaine de la QVT pour organiser une action de sensibilisation dans votre entreprise
Dans les organisations qui concentrent une forte population en surpoids, obèses ou sédentaires, ce format est vivement conseillé pour initier une démarche chez les personnes concernées et aider à sauter le pas.
Les rendez-vous personnalisés avec une diététicienne, qu’ils se déroulent sur site ou en ligne à la manière d’un Doctolib, constituent souvent un dispositif complémentaire aux actions vues avant. Par exemple, l’entreprise fait appel à nous pour des ateliers collectifs en matinée puis réserve l’après-midi des créneaux individuels avec la même nutritionniste pour des bilans personnalisés. Les salariés s’inscrivent à l’avance sur le planning et se sentent libres d’aborder des sujets plus personnels en toute confidentialité (prise de poids, troubles digestifs, addiction au sucre…).
Comme pour d’autres sujets de santé au travail, il est impératif de renouveler régulièrement les formations et les actions de sensibilisation sur la nutrition. Proposer des mémos à la suite des interventions, ou inscrire ces initiatives dans un plan d’action plus large permet de nourrir le projet dans la durée.
Qu’on choisisse de se lancer dans un grand chantier d’audit de site ou de démarrer petit avec un simple atelier découverte ouvert aux équipes, l’alimentation reste un sujet porteur et convivial, plébiscité par les salariés. Quand la médecine de ville et les pouvoirs publics, malgré de nombreuses tentatives, ne parviennent pas à faire passer le message, l’entreprise peut être le maillon manquant du dispositif.
Vous souhaitez mener une réflexion plus approfondie sur la question à nos côtés ou organiser simplement une première action de sensibilisation ?
Sautez le pas et prenez contact avec nos équipes et notre réseau de consultant.es santé et nutritionnistes à Paris, Lyon, Marseille et sur l’ensemble du territoire.